ENG:
Like a poet of machines, a novelist of the synthesizer or a troubadour of
modern times, Bauchamp tells us stories with his tracks. Influenced by Dutch Renaissance painters as well as by Baltimore’s most ghettoish producers, he succeeds in composing romantic jewels calibrated to dance by twos. His ability to create sweet and sensual melodies, unstoppable swing rhythms and comfortable bass lines make him an outstanding producer ready for all kinds of sound experiments.

With these two tracks, which close season three of “La Collection”, he takes us into an utopian dream, where a nonchalant break house rubs shoulders with a psychedelic dancehall instrumental.
We end this season with a final drawing of Théo Haggaï, a street artist who has made his mark in the streets of France thanks to his utopian and dreamy chalk drawings, who advocates tolerance, respect and love with his art.

The illustrations of season 3 of “La Collection” releases are all based on drawings he made on receipts between two clients when he was a cashier.
Dirty money doesn’t smell, art neither.

FR:
FR:
Tel un poète des machines, un romancier du synthé ou un troubadour des temps modernes, Bauchamp nous raconte des histoires avec ses morceaux. Autant influencé par les peintres hollandais de la renaissance que par les producteurs les plus ghettos de Baltimore, il arrive à composer des bijoux de romantisme calibrés pour danser à deux. Sa capacité à créer des mélodies douces et sensuelles, des rythmiques au swing imparables et des lignes de basses confortables font de lui un producteur hors du commun prêt à toutes les expérimentations sonores.
Avec ces deux morceaux, qui clôturent la saison deux de « La Collection », il nous emmène dans un rêve utopique, où un titre de house breakée nonchalante côtoie une instru de dancehall psychédélique.

On termine cette saison avec un dernier dessin de Théo Haggaï. Street artiste qui a su se faire sa place dans les rues de France grâce à ses dessins utopistes et rêveurs souvent réalisés à la craie, il prône avec son art la tolérance, le respect et l’amour.
Les illustrations des sorties de la saison 3 de « La Collection » sont toutes tirées de dessins qu’il a réalisés sur des tickets de caisse entre deux clients quand il était caissier.

L’argent sale n’a pas d’odeur, l’art non plus.

Cover: Theo Haggaï
Mastering: Sam @ Precise Mastering
Mixing: @hugodouster